
Depuis plusieurs années, la capitaine Pauline Olvo était une figure charismatique du 24e Régiment d’Infanterie de Versailles. Respectée par sa compagnie ainsi que l’ensemble du régiment, le choc n’en fut que plus grand quand ils découvrirent que sous l’uniforme étaient cachés en réalité trois ratons-laveurs les uns sur les autres.
C’est lors d’une visite que la vérité éclata. Alors qu’un soldat ouvrait sans frapper la porte du bureau du capitaine, il découvrit, avec stupeur, trois ratons-laveurs en pleine organisation. L’un d’eux feuilletait les cartes de l’exercice à venir, un autre tapotait sur un clavier, et le troisième semblait en train d’ajuster les épaulettes de l’uniforme.
« Vu qu’il ne passait pas son temps à parler de lui-même, nous avions les ordres à l’heure. On a même hésité à le dénoncer une fois que l’on a su, 3 ratons-laveurs, ça passe inaperçu au moins jusqu’à lieutenant-colonel. »
Lieutenant Nagri – responsable responsabilité
La surprise initiale laissa place à une fascination incrédule. Comment ces trois créatures avaient-elles réussi à mener une carrière aussi brillante sous le nez de tout le monde ? Devons-nous ouvrir le recrutement aux ratons-laveurs pour permettre d’avoir une armée plus efficace ? Le seul point n’étonnant personne pour l’instant est la capacité de ces 3 animaux à ne pas être détectés par le service de santé des armées.