À la demande de la population locale, le 3e Régiment de Génie de Charleville-Mézières a accepté d’expérimenter les sourciers ardennais pour ses missions. L’évaluation choisie pour vérifier le bon fonctionnement de ces méthodes originales a été la détection des mines, un des rôles d’importances dévolues à cette unité plus que bicentenaire.
Bien que des précautions aient été prises en utilisant des mines sans leur détonateur installé, aucun des sourciers n’a réussi à détecter grâce à ses reconnaissables bâtons. L’ensemble des pièges qui se trouvaient en forêt ont été découverts quand le baguettisant a marché dessus.
“Les sourciers demandent à ce que l’on mette des mines actives car ils détecteront mieux l’ ‘énergie’ des explosifs. Ils sont en train de se battre au commandement entre le juridique qui a sorti des décharges de responsabilité pour rire et le service médical qui refuse de participer aux nouveaux essais.”
Capitaine Baptiste C. – Commandant de la compagnie d’appui
Tout à la rigueur militaire, le lieutenant en charge de l’évaluation de l’expérimentation a indiqué que selon les calculs, au vu du nombre de sourciers présent dans le département des Ardennes, seule une surface de cinq hectares pourrait être nettoyée avec la méthode par déclenchement du pied qui résulte de l’étude.
Génie froid
Génie peur
Génie ké ta sœur !