Les forces nucléaires stratégiques révèlent que le Sacré-Cœur à Paris cache en réalité un radar et des silos de missiles

C’est un des secrets les mieux gardés des forces de dissuasions nucléaires qui sont eux-mêmes déjà un des secrets les mieux gardés des armées françaises qu’a réussi à dénicher l’équipe du Caporal Stratégique. Durant l’année 1966, en parallèle de la construction de la base aérienne 200 sur le plateau d’Albion, la basilique en surplomb de Paris a également reçu ses missiles atomiques pour permettre la défense des intérêts vitaux de la France. Profitant de la taille du dôme, un radar d’approche balistique y a parallèlement été implanté.

De par le cout d’exploitation faible, consistant à payer les forfaits Navigo du personnel et une cantine à base de chichi prit à une carriole pour touristes, le site fut conservé contrairement à son alter ego alpin. La présence des 4 dômes permet ainsi un départ rapide des missiles dès que l’ordre présidentiel est reçu à le poste de contrôle se trouvant dans les profondeurs de la station de métro Abbesses. C’est également après avoir descendu les très nombreux escaliers que les opérateurs peuvent assurer la surveillance des données en provenance du radar sous la coupole principale.

“On ne laisserait pas en place un monument si horrible s’il n’avait pas une utilité pour la Nation. En plus, les radiations résiduelles des têtes nucléaires permettent de faire croire à des miracles dans les fioles d’eau bénite.”

Hervé C. – Adjoint aux monuments à la mairie de Paris

Le problème principal de cette installation reste la gestion des essais pour s’assurer du bon fonctionnement des vecteurs hébergés dans le bâtiment. Plusieurs projets sont actuellement en cours d’études dont celui de profiter des feux d’artifice du 14 Juillet pour dissimulé un départ parmi les autres traces lumineuses dans le ciel ce soir-là.

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