
Alors que la guerre en Ukraine est entrée dans sa quatrième année, les capitales européennes ajustent avec conviction leurs stratégies militaires de non-intervention. Après avoir passé des années à dire qu’ils sont en économie de guerre en se contentant de commander 10 obus d’artillerie supplémentaires, les États européens tiennent à soutenir encore plus l’Ukraine en lui promettant une non-intervention dans le conflit d’un moment à l’autre.
Bien qu’initialement en retrait sur les promesses non tenues, l’Allemagne tient désormais à se joindre aux discours européens en assurant qu’en plus de ne jamais intervenir pour se remettre des opérations militaires menées il y a 10 ans dans la zone la plus calme d’Afghanistan. Les missiles Taurus, promis durant la campagne du chancelier Merz, continuent d’être programmés pour être désassemblés et détruits plutôt que d’être offert à l’Ukraine qui en ferait un meilleur usage pour moins cher.
« Nous avons promis d’autres types de soutiens, comme se rendre régulièrement en Ukraine pour des photo officielles et éviter une baisse de popularité. S’il le faut, nous critiquerons les stratégies sans nous impliquer dans leurs mises en œuvre. »
E. M. – imposition des mains
L’ensemble des chefs d’États européens espère ainsi envoyer un message clair auprès de la Russie. D’autres unités pourront ainsi être également présentes dans les pays de l’OTAN à la frontière ukrainienne pour s’entrainer à des manœuvres en s’assurant que les entrainements ne soient pas adaptés à la guerre en cours mais uniquement à celle prévue dans les manuels.