Après de nombreuses déclarations de personnages publics s’appuyant sur des citations tronquées du Chef d’État-Major des Armées (CEMA), il semblerait que beaucoup de Français préfèrent simplement dire non à la guerre, même lorsque des pays adverses déstabilisent le pays et ses alliés. Cela ressemble soit à un réflexe anti-uniforme qui s’exprime sans réelle réflexion, soit à une manœuvre inspirée par “tonton Vladou”, destinée à entretenir une panique constante sur des plateaux de télévision où le journalisme semble avoir disparu.
Néanmoins, pour le pays de la levée en masse et de la bataille de Valmy, menées pour défendre ses valeurs, il semble que le choix de sacrifier des volontaires plutôt que de préserver un pays démocratique, aussi imparfait soit-il, soit devenu une option préférable. Sans aller jusqu’au jumelage entre la ville de Nice et Marioupol, il apparaît que beaucoup aient toujours des difficultés à placer la Géorgie sur une carte européenne.
« Par chance, même dans les armées, on préfère ne pas se préparer. Il vaut mieux garder son quotidien jusqu’au dernier moment plutôt que de devoir faire des changements qui feraient travailler le commandement et l’administration pour rien. »
Sgt Z. G – Volontaire non autorisé
Pour éviter tout malentendu dans le futur, puisque l’Académie Française a encore une fois refusé de sortir de son inutilité, une commission a été mise en place pour modifier les paroles de la Marseillaise. L’hymne national commencera probablement par : « Allons soldats – sous contrat hors école – de la patrie, le jour de gloire est… »