
Après la mise en service de la première torpille anti-torpille aux États-Unis, l’Armée de l’Air et de l’Espace française a répliqué en annonçant avoir testé son premier missile anti-anti-missile. Celui-ci est conçu pour intercepter l’anti-missile ennemi, lui-même destiné à abattre le missile initial. Dans un contexte mondial où la course aux armements technologiques s’accélère, l’industrie de défense française franchit ainsi une nouvelle étape.
Le MAAM (Missile Anti-Anti-Missile) représente un progrès supplémentaire dans l’éternel duel entre le glaive et le bouclier. Et ce n’est qu’un début : le MAAAM, déjà en développement, sera capable de neutraliser les MAAM, eux-mêmes chargés de contrer les MAM, qui devaient intercepter les simples M. Anticipant cette escalade, le SIPRI suédois a déjà prévu d’ajouter à ses rapports la catégorie des ‘MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM’, afin d’être prêt jusqu’en 2050.
« Nous pensons que l’on devrait s’arrêter aux anti-anti-anti-missiles. On se rend compte que ça devient vite très compliqué, on ne sait plus qui doit intercepter quoi. Au final, on risque d’avoir chaque camp qui se bombarde lui-même par facilité. »
André F. – Inventeur noir et blanc
Selon les ingénieurs, la manœuvre nécessite une synchronisation millimétrée et une capacité de calcul embarquée exceptionnelle. Il semblerait que soit une étape importante aient été franchie, soit les industrielles commencent a être en panne d’idées pour vendre du matériel haute performance pour ne pas devoir à céder face à des drones à 2000€ doublé d’un conducteur poids-lourd en pause sur une aire d’autoroute pour effectuer de la frappe stratégique.